Le Bal Costumé d'Halloween

*Rhëa prit la Lampe entre ses mains et, alors que les Clientes se demandaient pourquoi la lumière était soudainement éteinte, elle alluma la lampe torche en direction de son Visage*

→ Mesdemoiselles, Messieurs je vous salue, mon Nom est Rhëa ! Suite à mon idée je vais vous raconter d'Horribles histoires à vous glacer le sang, n'essayez pas de vous échapper *dit-elle avec un ton légèrement menaçant suivit par le bruit des portes de la salles qui se refermèrent* Soyez attentifs et méfiez-vous, je ne sais pas si nous sommes seuls !

*Leur dit-elle avec un sourire sadique et une lueur de folie dans les yeux. Tout était en condition pour effrayer les personnes présentent ici, Axel avait bien fait de la laisser commencer, elle avait plus d'un tour dans son sac pour effrayer l'assemblée ...*


[Musique d'ambiance ... ]



→ Ma première Histoire est celle d'une jeune fille, nommée Alice, qui accepta de garder le bébé des Wilkins durant une Soirée entière, celle-ci ne les connaissait pas, mais elle avait besoin d'argent ... Elle se rendit le Vendredi suivant chez eux, découvrant avec étonnement la maison assez défraîchit dans laquelle ils habitaient. L'extérieur n'était pas très accueillant, et le Jardin très mal entretenu. Elle sonna. un homme d'une trentaine d'année environ lui ouvrit et dit :
- Bonsoir Alice, tu es pile à L'heure !
Il s'agissait de Mr Wilkins. il la fit entrer dans le couloir, une odeur de moisi y régnait. Elle prit le temps de détaillé ce personnage, il avait une tâche de naissance sur la joue en forme de pièce de monnaie, et à par ça il était habillé avec un style vraiment rétro ... Il indiqua que sa femme était en train de coucher le bébé. La porte de l'extérieur s'était refermée ... seule ... Elle avança dans le couloir éclairé par une ampoule faiblarde suspendue à un abat-jour qui aurait besoin d'être débarrassé des toiles araignées qui l'avait envahit. Elle précéda Mr Winlkins dans le salon, l'atmosphère était plutôt lugubre. Le salon était décoré style Rétro années 50, une Musique d'Orchestre était en train de tourner sur un vieille radio. Elle examina la pièce qui lui rappelait les photos de l'époque où sa grand-mère était jeune ... L'homme lui précisa que sa femme n'allait pas tarder à descendre et que son fils, Raphie, était à l'age où il faisait ses dents alors il pleurait tout le temps, un enfer ... Il lui fit signe de se taire pour écouter ... Mais il n'y avait plus de bruit, l'homme parut soulagé et dit :
- Bien, ce silence signifie que Mrs Wilkins a réussi à endormir le bébé elle va descendre d'ici une minute ou deux ...
Mrs elle ne tarda pas faisant une apparition discrète ce fit sursauter la jeune Alice, la Jeune femme était à peu près aussi grande que son Mari et vêtu d'une robe à fleurs et d'un cardigan jaune. Elle la Salua :
- Bonsoir Alice J'espère que Mr Wilkins t'as mise à ton aise, nous aimons tellement avoir de la visite dans cette maison !
Alice répondit :
- Oui Merci, dit-elle en essayant de se remettre de l'apparition inopinée de Mrs Wilkins. Cette pièce est incroyable, ajouta-t-elle d'une voix qu'elle espérait détendue. Ça a dût vous prendre un temps fou pour trouver tout ça !
- Excuse-moi Alice mais que veux-tu dire ? Demanda Mrs Wilkins en fronçant les sourcils.
- Les style années 50, expliqua la Jeune fille, nerveuse. C'est vraiment ... Original.
Les deux époux se regardèrent d'un air égaré.
-Excuse-moi Alice mais je ne comprend pas de quoi tu parles, dit Mr Wilkins.
Alice s'excusa, cela n'avait aucune importance. C'est à cet instant précis qu'elle remarqua à quel point tout était rétro chez eux, même leurs tenues et leurs coiffures. Alice demanda aux Wilkins ce qu'elle devrait faire si le bébé se réveillait et ils lui répondirent :
- Oh, il ne se réveillera pas, assura la femme, tu ne l'entendra même pas respirer dans son sommeil ... du moment que tu ne fais pas de bruit.
Alice leur promis d'être silencieuse et qu'elle ne ferai qu'écouter la télé avec le volume minimum. Les Wilkins prirent un air désolés, il lui dirent qu'ils n'avaient pas la télé mais seulement la TSF, Alice ne savait même pas ce que c'était. Si seulement elle avait pensé à prendre, un livre ou son Mp3. Mr Wilkins regarda sa montre et pressa sa femme pour partir. Alice ne savais toujours pas quoi faire si jamais le bébé se réveillait. Elle leur demanda et ils répondirent qu'ils ne devrait pas se réveiller tant qu'elle ne faisait pas de bruit et qu'elle ne montait pas là haut. Et Mrs Wilkins souligna ce point l'accès au 1ere étage lui était formellement interdit. Les Wilkins partirent ensuite se vêtir de leur manteaux et Alice les accompagna dans le couloir, ils lui demandèrent d'ouvrir la porte et elle le fit les voyant s'éloigner. Elle se retrouva seule. Alla alla dans le salon chercher son portable pour appeler son amie et lui raconter comment cela se passait comme elle lui avait promis, mais sa batterie était vide. Elle décida d'emprunter celui des Wlikins, un ancien téléphone qui, après essaie, ne marchait pas. Elle vit un morceau de papier avec un numéro sensé être celui de l'endroit où allez dîner les Wilkins seulement il était illisible tellement le papier était froissé et vieux. Elle se prit encore à penser "Et s'il se réveillait ?", elle se disait qu'il devait y avoir quelque chose dans la cuisine. elle s'y rendit mais le spectacle était pire que dans le salon, la cuisine était vraiment ancienne, ils n'avaient ni lave-vaisselle, rien ! Tout les aliments qu'elle trouva étaient ... moisis... elle se mit à penser que tout ce qui était pour le bébé se trouvait là-haut... Elle retourna dans le salon et commença à chercher une occupation, elle fouilla dans une commode et y trouva des jeux de société délavés par le temps, et au fond elle tomba sur un livre relié de Cuir Souvenirs heureux, un Album photo ! Elle l'ouvrit, curieuse, en tournant les pages de photos anciennes, d'une autre époque, monochrome, elle vit une photo d'un nouveau-né avec un jeune garçon, il était écrit : " Nos deux petits trésors, Ralph et Babara, Mai 1931", elle tourna les page voyant l'enfant à 4 ans puis grandissant encore, soudain, elle se rendit compte que ce petit point qu'elle avait prit pour une tâche d'encre se révélait être une tâche de naissance en forme de pièce de monnaie ... C'était Mr Wilkins mais .. mais c'était impossible ou alors il aurai 70 ans actuellement, or ce n'était pas la cas, elle vérifia c'était bien écrit 1931 ce devait être une erreur ... elle se précipita dans le couloir pour aller chercher un téléphone n'importe où mais elle devait appeler chez elle. soudain, un baby phone posé dans le salon se mit à crépiter, et le bruits des pleurs et des gémissements d'un bébé retentirent ... Ralphie s'était réveillé ... Alice se mit à paniquer, que faire ? Les bruits du bébé résonnaient dans sa tête, elle se décida, elle allait prendre Ralphie et partir de la maison chercher de l'aide chez les voisins ... Elle Monta . Elle arriva près de la porte d'où jaillissaient les cris du bébé ... Elle entra. Elle fut choquée devant ce qu'elle vit, la pièce était vide .. juste un Berceau était posé au centre, il y faisait si froid, comment des parents pouvaient-ils laisser un enfants ainsi dans une chambre sans chauffage ? Elle s'approcha et vit qu'un fil électrique dépassait du berceau. Parce qu'en plus ils avaient mis un appareil électrique comme cela à côté du lit, elle n'en revenait pas ... comment était-ce possible, à peine envisageable ! Elle s'approcha l'enfant était blotti dans ses couvertures et pleurait de plus belle, elle ne voyait que le duvet du dessus de sa tête. Alice risqua une main tremblante dans le berceau et souleva les couvertures. La tête roula sur le côté et tomba de l'oreiller. Alice faillit s'arrêter de respirer.
Son cœur lui martelait frénétiquement la poitrine. Elle resta figée sur place, incapable de bouger, le souffle coupé. De la sueur perla sur ses tempes.
Et soudain, elle éprouva un immense soulagement. C'était une vieille tête de bébé en plastique, et pas celle d'un bébé ! Elle ouvrit les couvertures et ce qu'elle vit la sidéra, il n'y avait pas de bébé mais une machine qui passait en boucles des bandes sons de pleurs de bébés. La jeune fille se précipita et appuya sur STOP, mais le silence qui suivit fut encore plus terrifiant ... "Ou était Ralphie . Y avait-il seulement un Ralphie ?" Alice était perdu elle trouvait les Wilkins certes bizarres mais là l'affaire était beaucoup plus sinistre que ça ! Un courant d'air glaciale la fouetta par derrière. Elle fit volte-face et vit Mrs Wilkins entrer par la porte ouverte, la jeune fille hurla, les pieds de Mrs Wilkins flottaient en l'air, à ras du sol.
- Oh Alice , soupira-t-elle. Nous t'avions dit de ne pas monter ici, nous t'avions dit de ne pas réveiller le bébé. Vous n'écoutez jamais, vous, les jeunes. Nous voulions juste un peu de compagnie, un peu de vie dans cette vieille maison, et maintenant voilà que tu as tout gâché.
Elle leva le bras et tendit une main crochu vers l’adolescente. Alice la repoussa et parti en courant dans le couloir. En bas de l'escalier de tenait Mr Wilkins qui lui barrait le passage, il sourit et lui fit signe d'approcher d'un long doigt maigre. Alice se jeta sur une porte du palier priant qu'elle n'était pas fermée. Dans son crâne c'était la tempête ! La porte s'ouvrit à la volée, soudain elle hoqueta et peina à respirer. La pièce , l'air était chargé d'une puanteur monstrueuse, écœurante. elle chercha à tâtons un interrupteur.
- Non ..., gémit-elle quand la vieille ampoule crasseuse éclaira la scène devant elle.
La chambre était garnie de mobilier ancien, mais c'était le lit qui avait retenue son attention. Prise d'un haut-le-cœur, elle leva une main à sa bouche, tout le corps secoué de frissons devant cet ignoble spectacle.
Deux squelettes étaient étendues côte à côte, leurs os d'un blanc grisâtre enveloppé de lambeaux de vêtements pourris ... Les vêtements des Wilkins !
Des cris par milliers retentirent dans sa tête en même temps. D'un seul coup le couple apparut par la porte fermée, sous la peur elle tomba par-terre. La jeune fille rassembla ses dernières forces pour hurler. Mr Wilkins tout sourire posa un doigt sur sa bouche.

- Chuuuut ! souffla-t-il. Ne réveille pas le bébé !

*Termina Rhëa en posant elle-même un doigt sur sa bouche ...*